Autobiographie de José Picon José Picon est né en 1937 à Sidi-Bel-Abbès (Oran). Fils et petit-fi ls de maçon, il a suivi des études au collège Moderne de cette ville jusqu’en classe de première, où il a été obligé d’arrêter pour aller travailler. Six personnes à la maison : le père, maçon, ne pouvait plus subvenir aux besoins la famille. Libéré des obligations militaires en 1960, il se marie avec une Oranaise, Francine Javaloyes, le 22 avril 1961 à Oran, date du putsch des généraux. Exilé à Alger pour son travail, il va rejoindre la métropole fin septembre 1962, en ayant espéré jusqu’au bout pouvoir rester sur son sol natal. José Picon est le seul Pied Noir à avoir vécu physiquement quatre épreuves marquants de la vie de l’Algérie Française : ◆ 22 avril 61, Putch des généraux ◆ 26 mars 62, tuerie de la rue d’Isly ◆ 5 juillet 62, massacre à Oran ◆ 15 juillet 62, affrontement des premières troupes de Boumédienne et Ben Bella à Alger. Il est le père de 4 enfants et 11 petits enfants.
ISBN:978-2-84668-676-1 – Format 14 x 22,5 cm – 146 pages – 13 €
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Sortie le 1er octobre 2018 Témoignage de Joseph Estoup C’est le devoir de témoigner d’un passé qui sans être très lointain — toutefois plus qu’un demi-siècle nous en sépare — a de quoi étonner qui ne l’a pas connu. L’environnement dans lequel j’ai vécu à cette époque (les événements, les hommes, les lois, les mœurs, etc.) me semble plus important que ce que j’ai pu y faire. Au demeurant, je veux parler librement de ce que j’y ai fait. Qui voudra me juger le peut, certes, mais doit prendre la peine de connaître mille choses qui n’existent plus aujourd’hui. Il doit savoir que j’ai été éduqué pour trouver ma place dans une civilisation, un pays tels qu'ils étaient alors. Je n’ai pas des faits d’armes à raconter, pas de vie de guerrier à parcourir. Qu’on n’attende pas de moi des « mémoires de guerre » car je n’ai pas connu les grands et petits combats d’une « vraie » guerre. Je peux néanmoins parler d’une guerre pas plus sale que toutes les guerres, mais plus salissante que d’autres. Mon régiment est mort le 28 avril 1961 et le 29 avril 2011, à Puyloubier, devant le drapeau du 1er REP exhumé de la crypte d’Aubagne et confié à une garde du 2e REP, l’Amicale des Anciens parachutistes de la Légion étrangère a fait l’appel des 751 hommes du 1er BEP-1er REP, dont 2 de ses chefs de corps, morts pour la France en Indochine et en Algérie du 1er juillet 1948 au 30 avril 1961. Et encore aucun nom vietnamien ne vint-il à l’appel car nous n’avons pas su conserver la mémoire, individuellement, des nombreux supplétifs tombés dans nos rangs en Indochine ! Treize ans de combats. Deux résurrections, une mort finale. ISBN 978-2-84668-623-5 – Format 18 x 24,5 cm – 294 pages – 25 € |
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Essai de Philippe de Miomandre Dans l'expression ''métier d'écrivain'', le métier s'apparente davantage à la machine à tisser qu'au job. Philippe de Miomandre nous en dévoile ici sa trame et ses chaînes. Un oncle – Francis de Miomandre, prix Goncourt –, un ami devenu psychanalyste jungien, un premier auteur, Jean Cocteau, dont il a écrit la biographie intime, un second auteur, Marcel Jouhandeau, qui fut son mentor… Voici pour la trame. La chaîne de la vie file à grande vitesse, des rencontres, des amis, des auteurs, de Venise… Les îles… Ne vous attendez pas à trouver ici un Diary, Philippe de Miomandre est trop dandy pour assommer le lecteur avec le déroulement des impressions fugaces du quotidien. Il nous offre ici, a contrario, un magazine de sa vie, de sa mémoire, de ses vérités nées au plus profond de son inconscient, une sorte de devoir de mémoire subtil qui offre au lecteur de nombreuses pistes. Il répond à la question : Comment écrire ? ce qui n'est pas une mince affaire… Philippe de Miomandre, poète, lauréat de l’Académie Française, écrit depuis l’âge de quinze ans. Prix des Parisiens de Paris pour sa biographie Moi, Jean Cocteau, auteur de théâtre, il accomplit de livre en livre une vie de labeur sur ce métier : ''Écrivain''. ISBN : 978-2-84668-589-4 – Format 155x240 mm – 198 pages – 20 € |
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récits de Claude-Frédéric Herg |
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Témoignage de Priscilla Delloterie « Mais pourquoi restes-tu avec ce mari qui te détruit à petit feu ? Il te suffit de le quitter. » Combien de fois Priscilla a-t-elle entendu cela ? Et combien de femmes battues sont confrontées à ce genre de réflexion ? Après bien des années de descente infernale, Priscilla s’est elle-même posé cette redoutable question. Pour y répondre, elle a choisi d’écrire ce livre. La spirale décrit parfaitement la manière dont la victime est manipulée par son bourreau, jusqu’à en perdre son identité propre. Assaillie par la culpabilité, Priscilla se sent incapable de vivre sans cet être aimé et haï tout à la fois. Rongée par la peur et la dépression, elle ne sait comment lui échapper et protéger ses enfants. Une victime est une personne dont l’horizon est composé de leurres… Mais Priscilla s’est libérée. Elle a enfin compris comment elle en était arrivée là : bébé balloté, enfance déstructurée, répétitions généalogiques... Par son récit, elle entend mettre un terme au fatalisme de cet engrenage de la violence. Dire également à toutes les femmes victimes de maltraitance qu’elles portent en elles la force de se battre, d’exister. Le bonheur est enfoui au plus profond de chacun… ISBN: 978-2-84668-440-8 - Format 14 x22,5 cm - 360 pages 19 € |
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Autobiographie de Jean-Pierre Pigalle
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Autobiographie de Nu Xuan Mai NGUYEN |
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autobiographie de Coumba Dioukhané - préface de Jean-Louis Debré
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Lutter contre l’inceste et la pédophilie - autobiographie d’Elisabeth Petit née Fiquet |
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Autobiographie de Mary Urbiha
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Autobiographie de Sergio Zamora
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récit de Victor Cupsa
Au cours du mois d’octobre 2015, la parution d’un album contenant une partie de mes dessins, peintures et écrits sous le titre Chemin à travers tableaux, coïncide avec ma lecture du Camp des saints, de Jean Raspail. Ce qui m’a amené à lui faire parvenir un exemplaire de mon ouvrage. Sa réponse m’a touché, je la trouve très belle et − avec son assentiment − j’aimerais la faire partager. Voici le texte en question : Monsieur, c’est une sorte de très beau et très dense Livre de raison que vous m’avez envoyé. La surprise est totale et je vous en remercie. La tête, la main, le cœur, la plume, le pinceau, le clavier, les convictions, les élans, les révoltes, une large palette qui compose votre symphonie intérieure… Ce n’est pas un « album à feuilleter », mais un voyage à entreprendre. Il m’y faudra du temps et le passage récent du cap Nonante, m’a quelque peu ralenti. Vous allez ainsi devenir mon compagnon de route… Votre dédicace et votre carte m’ont beaucoup touché. Nos chemins se sont croisés, c’est certain. Fraternellement à vous, Jean Raspail. Solstice d’hiver est le terreau qui m’a permis de réaliser les peintures, d’écrire les textes qui figurent dans Chemin à travers tableaux… Il représente un regard personnel, déterminé par mon cheminement, la traversée de périodes rugueuses tout autant que de celles qui apportent la joie de vivre. ISBN : 978-2-84668-603-7 – Format 15,5 x 24 cm – 540 pages – 29 € |
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7113e compagnie de l’Ardèche – groupe Franc – compagnie Basile
Ce récit de Georges Barbary, « Paul » dans la Résistance, apporte un éclairage nouveau sur l’histoire de l’Occupation. Gendarme et résistant, à Andance et Tournon-sur-Rhône, Paul est arrêté le 10 juin 1944, s’évade le même jour et rejoint le maquis. Il deviendra rapidement l’adjoint d’Henri Perrin, dit « Basile », un adjoint modérateur, formé aux mouvements militaires, au sein de la 7113e compagnie de l’Ardèche – groupe Franc. Rapidement, ce groupe sera jugé incontrôlable par la direction des F.T.P. à Privas, l’antenne officielle de la Résistance communiste, pour qui, désormais, l’ennemi n’est plus l’Allemand, mais l’Américain. La 7113e compagnie s’affiche F.T.P.F., F pour signifier « Français » et pour indiquer que les ennemis sont la Gestapo, la Milice, les collaborateurs, la Wehrmacht et qu’ils ont un drapeau, le drapeau tricolore de la France. Cette direction de Privas s’érigera en juge et les condamnera à mort pendant qu’ils mènent la libération de Tournon. Ils échapperont à cette sentence contrairement à d’autres compagnies en Auvergne et poursuivront le combat jusque dans le Doubs. « Si les Allemands avaient su quel bordel c’était dans la Résistance, dit Henri Roule, alias Bastien, ils auraient agi tout autrement ! » Plongez donc dans ce récit comme si vous étiez aux côtés de Paul. La Résistance est parfaitement décrite : il s’agissait d’une aventure humaine pour la défense de la Liberté. Une vraie aventure qui a changé la vie de tous ceux qui l’ont vécue. ISBN : 978-2-84668-617-4 - Format 14 x 22,5 cm - 132 pages – 13 € |
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